Soupçons de maltraitance à la SPA de Toulouse
- Manifestation devant la SPA suite à des accusations de cruauté envers les animaux
- Éviction de bénévoles ayant tenté de dénoncer ces actes
- Enquête judiciaire en cours après une série de signalements
- Direction de la SPA conteste les allégations et défend ses pratiques
Quels sont les faits reprochés à la SPA de Toulouse ?
La SPA de Toulouse est actuellement au centre d’une polémique suite à des accusations de maltraitance animale. Plus de cent personnes se sont mobilisées pour dénoncer des actes de cruauté envers les animaux pris en charge par l’association.
Des bénévoles et des employés ont rapporté des comportements violents d’un membre du personnel, faisant référence à l’existence de vidéos compromettantes.
Ces révélations surviennent dans un contexte déjà difficile, marqué par une période de quarantaine imposée au refuge pour éviter la propagation de la maladie de Carré, au cours de laquelle cinq chiens ont malheureusement succombé.
Des questions sont également soulevées concernant la gestion des euthanasies, avec des témoignages suggérant que celles-ci ne respecteraient pas toujours les procédures légales.
Une trentaine de signalements ont été déposés auprès du parquet général de Toulouse, et une enquête judiciaire a été ouverte afin de faire toute la lumière sur ces accusations.
La réaction de la direction face aux allégations
Face à la controverse, la direction de la SPA de Toulouse réfute catégoriquement les accusations portées contre elle. Elle affirme avoir pris des mesures pour améliorer les conditions d’hébergement et assure que les euthanasies sont effectuées par des vétérinaires compétents.
La vice-présidente de l’association insiste sur le fait que l’organisme ne cherche pas à générer des profits et fonctionne grâce aux dons et adoptions.
La direction se dit prête à prendre la parole en temps opportun, mais considère que les informations actuellement diffusées sont infondées. Pour en savoir plus sur cette affaire, vous pouvez consulter l’article de BFMTV.
